APPEL CONTRE LA CENSURE DES CITOYENS

Ce courrier est disponible sur le site unisavecbove.org ici

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APPEL CONTRE LA CENSURE DES CITOYENS

(PAR LES PRINCIPALES ORGANISATIONS POLITIQUES)

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[Aspache]

J'ai écouté Yves Sallers jeudi soir sur Inter,un quart d'heure.Affligeant.Se vautrer ainsi dans le débat stérile des réglements au cas par cas,de situations économiques et sociales(airbus)engendrées par l'incompétence de ces dirigeants et les conflits d'intérêts alors que les drames Humains nous brûlent les mains et le coeur,que nous savons pertinnement que c'est tout le système de production industriel et de sa finalité
que nous devons renverser,c'est définitivement prendre les libertaires pour des enfants de choeurs que nous ne sommes pas.
Le débat démocratique(la belle affaire)avec les légalistes,Bayroux,Royale,Sarkozy,huiles insipides et corrompues des rouages de la machine à fabriquer et à maintenir en l'état les privilèges de certains au détriment de tous les autres,tenants de tous les leviers permettant le maintien de cette hiérarchie du profit, est une trahison envers toutes celles et tous ceux qui voient en José Bové une alternative par les urnes,aux profondes interrogations et désirs violents d'exprimer au travers lui,leurs volontés ultimes de s'opposer radicalement aux véritables maitres de l'échiquier mondiale que sont les multinationales de la pégre en col blanc.
J'attends de José Bové et de ses comités de soutien d'autres propositions que du mercure au chrome sur une jambe de bois,entendre un discours
qui considére le Peuple en adulte et non pas comme une masse versatile et dangereuse qu'il faut canaliser.
Aujourd'hui José Bové devrait savoir que beaucoup d'entre nous vivent avec les désillusions de 1981,
de cette trahison.Les cocus comptez-vous.Ne cherchez pas ce sont toujours les mêmes dindons que la mafia politique et syndicale manipule ou envoie au casse-pipe.Quelque soit le moment de l'Histoire,le peuple ce grand naif,ce dépossédé du Tout,quelque soit son camp,est dressé les uns contre les autres et toujours au profit de la même engeance qui investit dans les usines d'armement pour que nous nous entretuions,quelque soit le choix des armes, militaires ou économiques.
Le Monde est malade comme jamais.
La fièvre n'est pas à son paroxysme mais et nous le savons tous, certains sont prets à nous infliger des traitements autrement plus radicales
que tous ceux que nous pourrions imaginer.